9 eme belle pute à rebeux enculée

Magnifique brune d'origine espagnole de 35 ans, mariée à un bel homme de 35 ans, sans enfants, devenue une chienne à rebeux accro à leurs grosses queues.
La 2eme photo est superbe, avec le sperme d'un de ses amants arabes qui vient de jouir dans son magnifique cul.
Il y a encore 3 mois, elle n'avait jamais imaginé coucher avec un autre homme que son mari, et surtout pas avec un arabe.
Et pourtant, elle a succombé aux avances de Brahim, 44 ans, vieux copain de classe du frère de son mari, pas spécialement beau  mais la peau mate et charismatique, qu'il avait recroisé et invité à un appéritif chez eux.
Avec beaucoup de malice, il a dragué la femme de son vieux pote, habillée il est vraie d'une robe bustier assez courte, et de hauts talons compensés, toute la soirée, avec des allusions et des compliments toujours bien placées, plus axées sexe, après plusieurs verres.
Elle le rembarrait gentiment à chaque fois, gênée, mais troublée par sa manière de la regarder à chaque allusion.
A la fin de la soirée, bien alcoolisés, alors qu'elle passait devant lui, il l'a attrapé au passage, et l'a fait s'asseoir sur ses genoux, sans qu'elle n'aie le temps de refuser.
Il a plaqué ses fesses sur son entre-jambes, elle a tout de suite senti une grosse bosse dure, la troublant encore plus.
Mais lui discutait avec son mari comme si de rien n'était, frottant sa bosse contre ses fesses en parlant.
Son mari lisant le trouble sur son visage, lui demanda si tout allait bien, et pour toute réponse, elle rougie encore plus.
Brahim en profita pour lui caresser les cuisses en riant. Totalement troublée, elle ne savait plus si le repousser ou pas.
Il en profita pour lui susurrer des compliments dans l'oreille, sur la douceur de sa peau, et la fermeté de son cul.
Son mari, alcoolisé, ne bronchait pas, et la regardait en souriant.
Elle se liquéfia lorsque ce dernier demanda à Brahim de faire tomber les bretelles de sa robe, et de sortir ses gros seins de son soutien-gorge.
 Paralysée par l'attitude de son mari, elle ne fit aucun mouvement, quand Brahim tira sur les bretelles de sa robe, plongea ses mains dans son soutien-gorge et sorti ses seins en les malaxant.
Elle se mit à mouiller abondamment lorsqu'il lui murmura à l'oreille qu'elle avait des gros seins de salope.
Brahim lui tourna la tête et l'embrassa en enfonçant sa grosse langue dans sa bouche, tout en continuant à lui caresser les seins.
C'est à ce moment que son mari se leva, et dit à Brahim qu'elle était à lui pour la nuit s'il voulait, quittant la pièce en titubant, pour aller se coucher.
Mais elle ne l'écoutait déjà plus, mêlant sa langue à celle de Brahim.
Il la baisa une bonne partie de la nuit, sur le canapé, ou debout contre un mur, avec sa longue et grosse queue d'étalon arabe. Il l'encula même, tellement elle était excitée. Elle eu orgasmes sur orgasmes.
Elle sû que son mari avait parié avec Brahim que les arabes n'étaient pas meilleurs au lit que les autres, et que Brahim l'avait défié en lui disant qu'il était même sûr de lui prouver avec sa propre femme.
Il s'était trompé. Sa femme à revu Brahim plusieurs fois, seul ou avec d'autres amis à lui.
Elle a pardonné à son mari d'avoir été la récompense de son pari, car il lui a permis de découvrir qu'elle aimait le sexe plus qu'elle ne le pensait, mais particulièrement se faire baiser et enculer par un ou plusieurs étalons arabes, beaux ou moches.